Dans le cadre d’un entretien avec le chef du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, le président de la Chambre, Nabih Berry, a fait part hier de son inquiétude quant à la situation politique au Liban.
« Le Liban n’est pas isolé ; il est au cœur d’une région en perpétuelle effervescence, et ce climat d’inimitiés risquerait de se répercuter chez nous si nous n’immunisions pas la scène libanaise et ne renforcions pas les liens qui existent entre les Libanais », a indiqué M. Berry.
Une appréhension qu’il a réitérée devant une délégation estudiantine du courant des Marada, affirmant : « Il existe une chance de salut. Nous traversons actuellement une période difficile, notre unique issue de secours nécessite la contribution de tous. »
Dans le cadre d’un entretien avec le chef du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, le président de la Chambre, Nabih Berry, a fait part hier de son inquiétude quant à la situation politique au Liban.
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