Véritable désert de Gobi pour ce qui est des sorties en salles ces derniers mois. Les cinéphiles et autres amoureux du cinéma n’ont effectivement pas dû passer un été mémorable. D’un autre côté, les nombreux festivals ont comblé la lacune, rétablissant ainsi l’équilibre avec la vacuité triste et pesante de nos cinés. Cependant, il est bien regrettable que ces événements s’empilent, s’enchaînent les uns après les autres (festival «né à Beyrouth», Semaine du film arabe, Semaine «cinéma en construction», Saison culturelle al-Mawsam) pour nous laisser d’un coup sans rien. À l’exception d’un ou deux festivals discrets, peu de choses viennent effectivement égayer nos jours pluvieux. Le public est donc contraint de s’en tenir aux sorties hebdomadaires en espérant que celles-ci soient à la...
Actualités - OPINION
Caméra rapprochée Le marathon des festivals
Par D. D., le 30 septembre 2004 à 00h00
Véritable désert de Gobi pour ce qui est des sorties en salles ces derniers mois. Les cinéphiles et autres amoureux du cinéma n’ont effectivement pas dû passer un été mémorable. D’un autre côté, les nombreux festivals ont comblé la lacune, rétablissant ainsi l’équilibre avec la vacuité triste et pesante de nos cinés. Cependant, il est bien regrettable que ces événements s’empilent, s’enchaînent les uns après les autres (festival «né à Beyrouth», Semaine du film arabe, Semaine «cinéma en construction», Saison culturelle al-Mawsam) pour nous laisser d’un coup sans rien. À l’exception d’un ou deux festivals discrets, peu de choses viennent effectivement égayer nos jours pluvieux. Le public est donc contraint de s’en tenir aux sorties hebdomadaires en espérant que celles-ci soient à la hauteur de leurs espérances.
Dommage, ces événements cinématographiques auraient gagné à être programmés tout au long de l’année, plutôt qu’entassés, contraignant ainsi l’audience à devoir supporter, en un court laps de temps, ce marathon du 7e art.
Voilà une manière bien cruelle de nous mettre l’eau à la bouche pour brusquement nous laisser sans rien. La bonne intention est là, mais pour ce qui est de l’organisation et du timing…
D.D.
Véritable désert de Gobi pour ce qui est des sorties en salles ces derniers mois. Les cinéphiles et autres amoureux du cinéma n’ont effectivement pas dû passer un été mémorable. D’un autre côté, les nombreux festivals ont comblé la lacune, rétablissant ainsi l’équilibre avec la vacuité triste et pesante de nos cinés. Cependant, il est bien regrettable que ces événements s’empilent, s’enchaînent les uns après les autres (festival «né à Beyrouth», Semaine du film arabe, Semaine «cinéma en construction», Saison culturelle al-Mawsam) pour nous laisser d’un coup sans rien. À l’exception d’un ou deux festivals discrets, peu de choses viennent effectivement égayer nos jours pluvieux. Le public est donc contraint de s’en tenir aux sorties hebdomadaires en espérant que celles-ci soient à la...
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