Selon lui, c’est cette stabilité qui lui a permis de redevenir un « lieu de rencontre entre les civilisations et les cultures ».
Et de poursuivre devant ses hôtes au palais de Baabda : « Au cours des derniers mois, le Liban a été le théâtre de nombreuses manifestations artistiques internationales, et tous ceux qui y ont participé se sont félicités de la stabilité qui prévalait dans le pays malgré tous les développements sanglants dans la région. » « De fait, a ajouté le chef de l’État, ces événements n’ont pas eu de répercussions sur la situation au Liban. »
Le président Lahoud a justifié ce calme par « les choix nationaux adoptés par l’État » et par l’unité des rangs internes. « Rien, ni personne, ne peut occulter ou même déformer cette réalité », a-t-il déclaré avant de conclure : « Quand la région jouira enfin d’une paix juste et globale, le rôle du Liban s’en trouvera conforté et le pays fera encore davantage de progrès, car les spécificités qui le caractérisent en font un lieu privilégié. »
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