« Nous avons discuté de la conjoncture générale à la lumière des circonstances au Liban et dans la région. Nous avons par ailleurs souhaité que les querelles politiques ne se répércutent pas sur les affaires quotidiennes des citoyens », a affirmé M. Pharaon à l’issue de la réunion.
« L’étape essentielle à l’heure actuelle est celle du budget. La divergence de points de vue à ce sujet peut-être positive et saine, si l’on ouvre la porte au dialogue, dans l’intérêt général. Sinon, en cas de conflit, la situation pourrait s’avérer dangereuse en raison de ses conséquences sur la réalité économique », a-t-il estimé. Les deux hommes ont enfin évoqué la loi sur les municipalités et les moyens de consacrer l’entente au niveau national et beyrouthin.
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