Actualités - CHRONOLOGIE
Une absurdité sur le plan biologique
Par PLANCK Max, le 15 février 2000 à 00h00
«La dépression, sur le plan biologique, est une absurdité. Pour la tristesse et la peur, c’est différent. Sans la première, nous n’aurions pas de relations sociales. Sans la seconde, nous ne pourrions pas survivre. «Normalement, les sentiments de bonheur et de malheur ne durent jamais. Les endorphines, qui les provoquent, ont une vie de cinq minutes. Il est impossible de rire, être triste ou avoir peur pendant longtemps. «Pour le dépressif, c’est tout un autre processus. Le malaise n’est pas occasionnel mais s’étend sur de longues périodes. Il est victime également de troubles de la concentration. Son équilibre émotionnel est durablement perturbé».
«La dépression, sur le plan biologique, est une absurdité. Pour la tristesse et la peur, c’est différent. Sans la première, nous n’aurions pas de relations sociales. Sans la seconde, nous ne pourrions pas survivre. «Normalement, les sentiments de bonheur et de malheur ne durent jamais. Les endorphines, qui les provoquent, ont une vie de cinq minutes. Il est impossible de rire, être triste ou avoir peur pendant longtemps. «Pour le dépressif, c’est tout un autre processus. Le malaise n’est pas occasionnel mais s’étend sur de longues périodes. Il est victime également de troubles de la concentration. Son équilibre émotionnel est durablement perturbé».
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