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Actualités - CHRONOLOGIES

BANQUE MONDIALE - Commentaires approbateurs - de Bassile et Sarraf

Les déclarations de James Wolfensohn selon lesquelles le Liban ne peut continuer à s’endetter sans changer sa politique financière ont continué de susciter des commentaires approbateurs dans les milieux économiques deux jours après le départ du président de la Banque mondiale, qui a effectué une visite de deux jours au Liban. «Ces propos sont raisonnables», a déclaré hier le président de la Byblos Bank, François Bassile. «Nous nous associons complètement à ces recommandations et nous espérons qu’elles seront suivies». Selon l’ancien président de l’Association des banques, le gouvernement est conscient des efforts à fournir en matière de politique financière. Parmi les mesures que préconise François Bassile, figure notamment la nécessité de s’attaquer rapidement à la réforme administrative et au processus de privatisation sans oublier de restructurer la dette et d’autoriser la Banque centrale à mieux gérer ses réserves en or. De son côté, le président de l’Association des industriels, Jacques Sarraf, a estimé que le gouvernement actuel avait déjà commencé à appliquer les recommandations de Wolfensohn. «La décision la plus difficile est de vouloir le changement. Nous considérons que l’existence d’un consensus autour de la nécessité du changement et sa traduction concrète constituent en eux-mêmes un succès».
Les déclarations de James Wolfensohn selon lesquelles le Liban ne peut continuer à s’endetter sans changer sa politique financière ont continué de susciter des commentaires approbateurs dans les milieux économiques deux jours après le départ du président de la Banque mondiale, qui a effectué une visite de deux jours au Liban. «Ces propos sont raisonnables», a déclaré hier le...