La langue espagnole a, rappelle-t-on, cours dans huit pays qui sont, outre l’Espagne et les quatre pays susmentionnés, l’Argentine, le Chili et l’Uruguay.
La réunion d’hier s’est tenue à la demande des quatre ambassadeurs qui y ont participé. Au cours des débats, M. Abou Assly a étudié avec ses hôtes le double aspect pédagogique et politico-légal de la question soulevant surtout le problème du manque d’enseignants pratiquant l’espagnol.
A la lumière de leur entretien avec M. Abou Assly, les ambassadeurs ont décidé d’entreprendre des contacts avec le chef de l’Etat et les ministres de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur afin de poursuivre l’étude de la question.
La réunion a également porté sur la possibilité d’envoyer des livres arabes aux Libanais émigrés dans ces pays.
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent