L’Association Greenpeace a appelé hier le président italien, M. Oscar Luigi Scalfaro, actuellement en visite au Liban, à «contribuer à résoudre une fois pour toutes le problème des déchets toxiques importés d’Italie en 1987 et qui se trouvent toujours sur le territoire libanais».
Dans un communiqué, le représentant de Greenpeace au Liban, M. Fouad Hamdan, a indiqué que «cinq régions du Liban ont été et restent contaminées par les déchets toxiques dont ce pays a souffert plus qu’il ne faut».
M. Hamdan a rappelé dans ce domaine les résultats des études effectuées sur le territoire libanais par la compagnie britannique Eurotech Environmental. Cette compagnie avait, rappelle-t-on, été engagée par le ministère de l’Environnement pour repérer les déchets toxiques stockés au Liban et réexporter les barils trouvés en surface.
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