Interrogé par les journalistes à l’issue de l’entretien, M. Khodari a indiqué: «Avec le chef du gouvernement et les ministres, nous évoquons plus particulièrement les relations bilatérales libano-égyptiennes en profondeur. Mais avec le président de l’Assemblée nationale, nous évoquons davantage la situation générale au Liban et au Liban-Sud en particulier ainsi qu’au Moyen-Orient, sujets que nous abordons d’ailleurs également avec le chef de l’Etat et le chef du gouvernement».
En réponse à une question, M. Khodari a réitéré le point de vue de son gouvernement selon lequel «l’Egypte ne participera à la conférence de Doha que si des progrès substantiels sont réalisés au niveau du processus de paix».
Le président Berry devait ensuite recevoir l’ambassadeur du Soudan, M. Moustapha Abdel Hamid Kab el Rafic, avec lequel il s’est entretenu au sujet des relations bilatérales libano-soudanaises et des moyens de les développer.
Dans une déclaration à la presse, l’ambassadeur soudanais a rendu «hommage au peuple libanais et à sa résistance face aux complots ourdis contre lui et aux obstacles dressés sur la voie du développement et de la reconstruction en cours».
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