Les joueurs auront passé presque autant de temps gisant au sol que debout, courant après le ballon. L’arbitre s’est époumonné à siffler des fautes et s’est épuisé en gestes à l’appui de ses décisions. Pour finir, on a eu droit à une irruption pour le moins incongrue sur le terrain de l’entraîneur syrien, Anouar Abdel Kader, flanqué de ses adjoints. Et comme point d’orgue: une pluie de bouteilles et d’objets divers. Mais le sport a ses lois et elles sont rudes: le Liban se sera incliné par 3-2 devant les Syriens, après prolongation du temps réglementaire, sifflé sur une égalité (2-2).
Les joueurs auront passé presque autant de temps gisant au sol que debout, courant après le ballon. L’arbitre s’est époumonné à siffler des fautes et s’est épuisé en gestes à l’appui de ses décisions. Pour finir, on a eu droit à une irruption pour le moins incongrue sur le terrain de l’entraîneur syrien, Anouar Abdel Kader, flanqué de ses adjoints. Et comme point...
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