Interrogés, les trois éléments ont répliqué qu’ils avaient reçu des instructions orales de la part de leur instance de référence en l’occurrence le commandant Tarek Oueidat. Ce dernier a déclaré, quant à lui, avoir reçu des ordres du procureur général, M. Ghassan Fawaz lequel a cependant nié avoir donné un quelconque ordre dans ce sens.
La justice
avant tout
De son côté, le procureur de la République, M. Adnan Addoum, qui a vivement condamné ces procédés, a promis que la justice mettra un terme définitif à de telles pratiques.
MM. Baalbacki et Karam ont affirmé que «la presse ne se montrera plus dorénavant tolérante à l’égard d’agissements illégaux et hégémoniques».
Ils ont enfin appelé les journalistes à ne pas se conformer à des ordres n’émanant pas d’instances judiciaires et qui n’auraient pas été notifiés aux syndicats de la presse ou des rédacteurs.
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