Un Iranien portant les drapeaux de l'Iran et du Hezbollah lors de la commémoration de la révolution islamique, à Téhéran, en février 2020. Archives AFP
Une semaine de guerre ouverte, et aucun passage à l'acte. À la grande satisfaction des Libanais et du palais présidentiel – résolu à reprendre en main la décision de guerre et de paix –, le Hezbollah semble ne pas vouloir – du moins jusqu'ici – rejoindre la guerre déclenchée dans la nuit du 12 au 13 juin contre son parrain de toujours. Il « ne lancera pas sa propre attaque contre Israël en représailles », indiquait ainsi un responsable du parti à Reuters, sous couvert d'anonymat, dès le 13 juin, au lendemain des frappes israéliennes. Et si le secrétaire général Naïm Kassem soulignait, six jours plus tard, « être au côté de l’Iran », une intervention directe du parti semblait encore exclue. Le Liban ne se joindra pas aux hostilités : une certitude à « 200 % », assurait jeudi le président du Parlement, Nabih Berry, allié au...
Une semaine de guerre ouverte, et aucun passage à l'acte. À la grande satisfaction des Libanais et du palais présidentiel – résolu à reprendre en main la décision de guerre et de paix –, le Hezbollah semble ne pas vouloir – du moins jusqu'ici – rejoindre la guerre déclenchée dans la nuit du 12 au 13 juin contre son parrain de toujours. Il « ne lancera pas sa propre attaque contre Israël en représailles », indiquait ainsi un responsable du parti à Reuters, sous couvert d'anonymat, dès le 13 juin, au lendemain des frappes israéliennes. Et si le secrétaire général Naïm Kassem soulignait, six jours plus tard, « être au côté de l’Iran », une intervention directe du parti semblait encore exclue. Le Liban ne se joindra pas aux hostilités : une certitude à « 200 % », assurait jeudi le président...
Si le Hezbollah ose bouger le petit doigt, ou n'importe lequel de ce qui lui reste après l’opération pager, pas un chiite qui soutient du Hezbollah ne pourra rester au Liban. PAS UN! A bon entendeur salut!
12 h 39, le 23 juin 2025