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Culture - Patrimoine

Et si on réparait Beyrouth ? Ce nouvel observatoire a un projet bien pensé

Installé au dernier étage de Beit Beirut, Marsad transforme la ville en sujet d’enquête, de débat et d’expérimentation collective.

Et si on réparait Beyrouth ? Ce nouvel observatoire a un projet bien pensé

Dans l’observatoire, les visiteurs placent des épingles sur des cartes pour tracer leur trajet quotidien entre leur domicile et leur lieu de travail, cartographiant ainsi les lignes de bus sur lesquelles ils peuvent compter. En échange de cette activité ludique, ils reçoivent un coupon gratuit pour leur prochain trajet. Rayanne Tawil/L'Orient-Le Jour

Beit Beirut est un bâtiment qui fut autrefois le témoin du regard du tireur embusqué. Aujourd’hui, il abrite la mémoire collective de la ville. À son dernier étage, une pièce s’ouvre non pas sur la ligne d’horizon, mais sur un champ des possibles : Marsad (l’Observatoire de l’architecture et de la ville) est un espace dédié aux architectes, urbanistes et activistes qui cherchent à reprendre la parole sur l’environnement bâti de Beyrouth.Pendant des décennies, le discours urbain au Liban a été enfoui dans les tiroirs de cabinets de conseil ou cantonné aux programmes universitaires. Désormais, Marsad ouvre ces tiroirs en grand.« D’habitude, pour faire ce genre d’études, il faut aller chez l'Ordre des Ingénieurs et des architectes ou dans des musées », explique l’architecte Hala Younes, cofondatrice de l’observatoire. « Aujourd’hui, nous...
Beit Beirut est un bâtiment qui fut autrefois le témoin du regard du tireur embusqué. Aujourd’hui, il abrite la mémoire collective de la ville. À son dernier étage, une pièce s’ouvre non pas sur la ligne d’horizon, mais sur un champ des possibles : Marsad (l’Observatoire de l’architecture et de la ville) est un espace dédié aux architectes, urbanistes et activistes qui cherchent à reprendre la parole sur l’environnement bâti de Beyrouth.Pendant des décennies, le discours urbain au Liban a été enfoui dans les tiroirs de cabinets de conseil ou cantonné aux programmes universitaires. Désormais, Marsad ouvre ces tiroirs en grand.« D’habitude, pour faire ce genre d’études, il faut aller chez l'Ordre des Ingénieurs et des architectes ou dans des musées », explique l’architecte Hala Younes, cofondatrice de...
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DANS LA FOULEE DE LA FOLIE ON PEUT DANSER DES FARANDOLES FOLLES.

LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EN PERIL.

12 h 38, le 16 juin 2025

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Commentaires (2)

  • DANS LA FOULEE DE LA FOLIE ON PEUT DANSER DES FARANDOLES FOLLES.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EN PERIL.

    12 h 38, le 16 juin 2025

  • good luck !

    L’acidulé

    10 h 12, le 16 juin 2025

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