Une femme marche près d'un portrait du leader palestinien Yasser Arafat dans le camp de réfugiés palestiniens de Mar Élias à Beyrouth, avant la visite du président palestinien Mahmoud Abbas au Liban, le 20 mai 2025. Photo Mohamed Azakir/Reuters
Le président palestinien Mahmoud Abbas a entamé mercredi une visite de trois jours au Liban, lors de laquelle il a abordé la question brûlante du désarmement des camps palestiniens dans le pays, dans le sillage de la guerre de Gaza et suite au dernier conflit dévastateur entre le Hezbollah et Israël. Dans une déclaration conjointe, M. Abbas et son homologue libanais, Joseph Aoun, ont affirmé qu'il n'y aurait plus d'armes échappant au contrôle de l'État, alors que le Liban s'est engagé à récupérer le monopole des armes, que ce soit auprès des factions palestiniennes que celles du Hezbollah.Car depuis plus de cinq décennies, l'État libanais ne contrôlait pas la présence armée palestinienne sur son territoire. Cette situation découle de la signature en 1969 de l'accord du Caire entre l’armée libanaise et l’Organisation pour la...
Le président palestinien Mahmoud Abbas a entamé mercredi une visite de trois jours au Liban, lors de laquelle il a abordé la question brûlante du désarmement des camps palestiniens dans le pays, dans le sillage de la guerre de Gaza et suite au dernier conflit dévastateur entre le Hezbollah et Israël. Dans une déclaration conjointe, M. Abbas et son homologue libanais, Joseph Aoun, ont affirmé qu'il n'y aurait plus d'armes échappant au contrôle de l'État, alors que le Liban s'est engagé à récupérer le monopole des armes, que ce soit auprès des factions palestiniennes que celles du Hezbollah.Car depuis plus de cinq décennies, l'État libanais ne contrôlait pas la présence armée palestinienne sur son territoire. Cette situation découle de la signature en 1969 de l'accord du Caire entre l’armée libanaise et...
Reçus en tant que réfugiés par le LIBAN, avec tous les droits pour s'établir, travailler, se marier, ils ont fini par retourner leurs armes contre l'Armée libanaise et le peuple libanais. Idem en Jordanie avec septembre noir. Au fait quel était le Président libanais qui avait signé ces accords ????? sous la pression de quel état ???? On sait maintenant ce que cela a coûter en misère, deuils, fractures à notre pays tant aimé ! J'espère qu'avec notre nouveau Président on évitera le loup dans la bergerie, une fois le pays nettoyé de toute menace passée et future. Vive le Liban. G L
16 h 30, le 23 mai 2025