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Dernières Infos - Dissolution du PKK

Le PKK dit refuser tout « exil » de ses membres de Turquie

Photo datée de 1992 montrant Abdullah Öcalan, chef du mouvement séparatiste kurde interdit en Turquie, le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), dans un camp d'entraînement situé dans le village de Helweh, dans la plaine de la Békaa, au Liban, à seulement deux kilomètres de la frontière syrienne. Photo d'archives AFP/ RAMZI HAIDAR.

Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a dit refuser tout exil de ses membres de Turquie alors que l'organisation, longtemps engagée dans la lutte armée, a annoncé sa dissolution en vue de négociations de paix avec Ankara.

« Le PKK met fin à sa lutte armée (...) si l'État turc veut sincèrement et sérieusement faire la paix, il devrait procéder aux amendements législatifs nécessaires pour que les membres du PKK soient intégrés à une société démocratique », a indiqué lundi soir à l'AFP Zagros Hiwa, porte-parole de la branche politique du PKK. « Une vraie paix nécessite l'intégration, et non l'exil », a-t-il insisté.


Le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a dit refuser tout exil de ses membres de Turquie alors que l'organisation, longtemps engagée dans la lutte armée, a annoncé sa dissolution en vue de négociations de paix avec Ankara.


« Le PKK met fin à sa lutte armée (...) si l'État turc veut sincèrement et sérieusement faire la paix, il devrait procéder aux amendements législatifs nécessaires pour que les membres du PKK soient intégrés à une société démocratique », a indiqué lundi soir à l'AFP Zagros Hiwa, porte-parole de la branche politique du PKK. « Une vraie paix nécessite l'intégration, et non l'exil », a-t-il insisté.