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Les voix de la guerre du Liban - 50 ans de la guerre civile au liban

« Mon premier voyage hors du Liban, ce fut dans un petit kibboutz israélien » (5/7)


À l’occasion des cinquante ans de la guerre civile libanaise, L’Orient-Le Jour vous fait découvrir les témoignages de ceux qui l’ont vécue, subie, observée de près. Dans ce nouvel épisode, Hicham raconte une étrange aventure qui le conduit, en pleine occupation du Sud-Liban, dans un kibboutz israélien.

« Bienvenue en Israël, pour appeler la France, composez le… » À l’approche de son village natal du Liban-Sud, situé à deux kilomètres des frontières avec Israël, Hicham se remémore l’arrivée de cette armée étrangère venue occuper, dès 1978, ce petit coin du pays où poussent les oliviers et les plants de tabac. Il a 11 ans. Certains habitants acceptent de collaborer avec l’armée occupante, se croyant ainsi protégés des milices de l’Organisation de libération de la Palestine, postées tout autour de ce village chrétien. Le père de Hicham, lui, se révolte contre le cours des choses. Craignant pour sa vie, la famille quitte le sud pour se réfugier à Beyrouth. Un été, le jeune homme revient au village et se retrouve embarqué dans une étrange aventure de l’autre côté de la frontière…

Il est à noter que les propos exprimés dans cette série ne reflètent pas la position de L’Orient-Le Jour et n’ont pas vocation à fournir un récit historique infaillible. Nous avons tenu à ce que les personnes sollicitées livrent leur vision et leur ressenti subjectifs, avec la violence qu’ils comportent.

À l’occasion des cinquante ans de la guerre civile libanaise, L’Orient-Le Jour vous fait découvrir les témoignages de ceux qui l’ont vécue, subie, observée de près. Dans ce nouvel épisode, Hicham raconte une étrange aventure qui le conduit, en pleine occupation du Sud-Liban, dans un kibboutz israélien.« Bienvenue en Israël, pour appeler la France, composez le… » À l’approche de son village natal du Liban-Sud, situé à deux kilomètres des frontières avec Israël, Hicham se remémore l’arrivée de cette armée étrangère venue occuper, dès 1978, ce petit coin du pays où poussent les oliviers et les plants de tabac. Il a 11 ans. Certains habitants acceptent de collaborer avec l’armée occupante, se croyant ainsi protégés des milices de l’Organisation de libération de la Palestine, postées tout autour...
commentaires (2)

Imaginons maintenant ce scénario à l’envers : Des enfants Israéliens ont traversé la frontière vers le Liban. « GRANDE VICTOIRE MILITAIRE DE LA RESISTANCE. DES INDIVIDUS DE L’ENTITE SIONISTE CAPTURES AU LIBAN-SUD ET PRIS EN HÔTAGE. DES NÉGOCIATIONS … » Sounds familiar? Juif du Liban

Camilo Romano

17 h 15, le 08 mai 2025

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Commentaires (2)

  • Imaginons maintenant ce scénario à l’envers : Des enfants Israéliens ont traversé la frontière vers le Liban. « GRANDE VICTOIRE MILITAIRE DE LA RESISTANCE. DES INDIVIDUS DE L’ENTITE SIONISTE CAPTURES AU LIBAN-SUD ET PRIS EN HÔTAGE. DES NÉGOCIATIONS … » Sounds familiar? Juif du Liban

    Camilo Romano

    17 h 15, le 08 mai 2025

  • Très intéressant. Notez que c'est un point de vue comme un autre. La question que je me pose: Pour un jeune, libanais ou palestinien, quel est le meilleur choix: Aller en colonie de vacances dans un kibboutz, ou se faire bombarder pendant 18 mois++ par Tsahal? Il fut un temps ou Israël était prête à mettre un effort de bonne volonté pour bâtir des ponts avec le Liban. Assad et le Hezbollah et nous ont poussé dans le sens contraire. On connait la suite, le désastre continu des dernières 49 années. J'ose espérer que ce n'est pas trop tard, et qu'un jour, nos enfants pourront rebâtir ces ponts.

    Micheline

    03 h 55, le 08 mai 2025

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