
À Faraya, des habitués, comme si de rien n'était. Photo Joe Sokhn
La jet-set partie, certains privilégiés cherchant à fuir les tensions grandissantes se retrouvent, comme il y a 40 ans, sur les hauteurs d’une région historiquement épargnée par les conflits extérieurs.
OLJ / Par Karl RICHA, le 18 octobre 2024 à 00h00
À Faraya, des habitués, comme si de rien n'était. Photo Joe Sokhn
Quelle honte , peuple sans tête ….. alors que le pays est à feu et à sang!
A quoi sert cet article? Pourquoi ne pas consacrer un article au vrai peuple qui ne fuit pas, qui ne se cache pas. Le peuple qui combat avec le drapeau patriote jaune aux couleurs de la nation. Pourquoi ne pas parler de ce peuple qui donne la meilleure image du pays, le vrai héritage de toutes les richesses de nos ancêtres et de notre enfance.
"… ces bourgades bien loties, au nord de Jounieh …" - Psst! Quelqu’un pourrait-il expliquer à Karl Richa que Faraya est à l’est de Jounieh, pas au nord? Le copier-coller serait plus crédible… amitiés.
"…. les macchiatos avalés à froid sur les terrasses …" - À froid? Brrrr. Décidément la guerre peut être si cruelle parfois…
Cet article est intéressant...car il est le reflet de nos sociétés, et on a les mêmes partout, qu'on est pas, il va de soi, tous bombardé du matin au soir. L'objectivité de l'article, et du journalisme en général, permet de voir les êtres humains tels qu'ils sont sans (nécessairement) les juger. La guerre, l'horreur, l'urgence, révèle surtout le vide interstellaire qui habitent les couches les plus aisées: le manque d'empathie, d'intérêt pour la collectivité et d'égard pour les malheurs des autres. De ce point de vue ils sont à plaindre, car ils n'éprouvent pas leur âme.
Dérangeant. Dans quel but met on la lumière sur ces quelques rares caricatures en rajoutant du sel et du poivre ; comme celle qui se repoudre le nez : geste que plus personne ne fait de nos jours. Relever ceci est indécent et nuit à la cohésion nationale.
Le fait d'avoir beaucoup d'argent ne fait pas de ces gens une" élite". Et vive la ploutocratie !
depuis des siècles la montagne a été le refuge de tout les libanais et a gardé son indépendance du temps des ottomans en passant par la guerre civile de 1975.
La censure est passée par là.. aussi. pffff... c'est qui le censeur en ce Vendredi 18 Octobre , matin? Kim Jong Un de la corée du Nord?
Le titre est indécent
Qu'il est doux l'entre soi des happy few quand certains meurent écrasés sous les bombes et d'autres crèvent de faim...
Quel est le but de cet article?
Cet article me dérange !
Un article de mauvais goût.
C est normal.
La vacuité des personnages...on dirait une page d'Easton Ellis.Mis à côté du témoignage des trois jeunes femmes, le contraste est saisissant.
Quelle honte , peuple sans tête ….. alors que le pays est à feu et à sang!
03 h 55, le 21 octobre 2024