Des feux brûlent dans les décombres du site où un bombardement israélien massif a tué le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah et un nombre indéterminé de civils, le 27 septembre 2024. Ibrahim Amro/AFP
Lorsque les avions israéliens ont largué des tonnes de bombes sur le « quartier général du Hezbollah » dans la banlieue sud de Beyrouth, le 27 septembre, la force des frappes a été telle que les habitants de l’autre côté de la capitale ont cru que c’étaient leurs propres maisons qui étaient attaquées.Pour s’assurer d’éliminer le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, l’armée de l’air israélienne a largué des dizaines de bombes de 2 000 livres (900 kg) en l’espace de quelques minutes, selon des analystes. Un responsable du ministère américain de la Défense a déclaré au Washington Post qu’il n’avait jamais vu auparavant autant de bombes utilisées contre une seule cible. Les images du site montrent d’énormes cratères dans le sol et quatre immeubles résidentiels complètement rasés. Lire aussi « C’est un cauchemar sans...
Lorsque les avions israéliens ont largué des tonnes de bombes sur le « quartier général du Hezbollah » dans la banlieue sud de Beyrouth, le 27 septembre, la force des frappes a été telle que les habitants de l’autre côté de la capitale ont cru que c’étaient leurs propres maisons qui étaient attaquées.Pour s’assurer d’éliminer le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, l’armée de l’air israélienne a largué des dizaines de bombes de 2 000 livres (900 kg) en l’espace de quelques minutes, selon des analystes. Un responsable du ministère américain de la Défense a déclaré au Washington Post qu’il n’avait jamais vu auparavant autant de bombes utilisées contre une seule cible. Les images du site montrent d’énormes cratères dans le sol et quatre immeubles résidentiels complètement rasés. ...