Des partisans et sympathisants du Hezbollah brandissent les portraits de Fouad Chokor et Ismaïl Haniyé durant une retransmission d'un discours de Hassan Nasrallah, le 6 août 2024 à Beyrouth. Photo Mohammad Yassine
Depuis janvier 2024, quand Israël a assassiné au Liban-Sud Wissam Tawil, un commandant militaire du Hezbollah, la guerre qui oppose le parti chiite à l’État hébreu est entrée dans une nouvelle phase, placée sous le signe de l’élimination de hauts...
Depuis janvier 2024, quand Israël a assassiné au Liban-Sud Wissam Tawil, un commandant militaire du Hezbollah, la guerre qui oppose le parti chiite à l’État hébreu est entrée dans une nouvelle phase, placée sous le signe de l’élimination de hauts...
Pour ceux qui pensent que les Israéliens sont en paniquent, qu’ils se terrent, que … eh bien les amis ça se passent partout, chez eux comme chez nous. Quand à l’aspect militaire, je tiens à rappeler aux excités du Hezb que les USA ont mis la Serbie à genou sans avoir à intervenir sur le terrain. Rien n’empêchera Israël de faire de même. Nous nous retrouverons avec un Hezbollah affaibli, détruit, le pays en ruine et un accord de paix qui nous sera imposé et dans lequel nous y perdrons beaucoup de plumes comme les 1800 km2 offert gratos par le Hezbollah et Aoun. Ça en valait la peine?
07 h 09, le 10 août 2024