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Le décryptage - Cinq minutes pour comprendre

Explosion au port de Beyrouth : les trois grandes zones d'ombre de l'affaire


C’était il y a trois ans, jour pour jour. Au port de Beyrouth, l’une des pires explosions non nucléaires de l’histoire pulvérisait les alentours, tuant plus de 200 personnes, blessant 7 000 autres, et ravageant 77 000 bâtiments.

Aujourd’hui, les causes profondes de ce drame restent en grande partie inexpliquées. Car depuis trois ans, l’enquête est bloquée par de nombreuses plaintes déposées contre le juge Tarek Bitar, en charge de l’affaire, notamment par des responsables qui font l’objet de mandat d’arrêt.

Mais au cours de ces trois années, de nombreuses révélations ont été faites par des journalistes d'investigation, des chercheurs, des scientifiques... qui ont tenté de répondre à ces questions : ce nitrate était-il réellement destiné au Mozambique ? Pourquoi les responsables l’ont-ils laissé au port pendant 6 ans ? Qu’est-ce qui a réellement provoqué l’explosion ?

Dans cette nouvelle vidéo de décryptage, on fait le point sur les grandes zones d'ombre de ce drame, trois ans après.

Pour aller plus loin

À Beyrouth, les fantômes du hangar n°12


C’était il y a trois ans, jour pour jour. Au port de Beyrouth, l’une des pires explosions non nucléaires de l’histoire pulvérisait les alentours, tuant plus de 200 personnes, blessant 7 000 autres, et ravageant 77 000 bâtiments. Aujourd’hui, les causes profondes de ce drame restent en grande partie inexpliquées. Car depuis trois ans, l’enquête est bloquée par de nombreuses...
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Et bien sûr, comme partout et comme toujours, on ne mentionnera pas les milliers de libanais qui ont entendu le son caractéristique d’un aéronef militaire juste avant l’explosion. Son que l’on entend même dans les vidéos. On ne mentionnera pas non plus le Président Trump qui, à deux reprises, dira qu’il s’agit d’une attaque. Des faits, qui, a l’évidence, gênent…

Mago1

00 h 33, le 04 août 2023

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Commentaires (1)

  • Et bien sûr, comme partout et comme toujours, on ne mentionnera pas les milliers de libanais qui ont entendu le son caractéristique d’un aéronef militaire juste avant l’explosion. Son que l’on entend même dans les vidéos. On ne mentionnera pas non plus le Président Trump qui, à deux reprises, dira qu’il s’agit d’une attaque. Des faits, qui, a l’évidence, gênent…

    Mago1

    00 h 33, le 04 août 2023

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