
Harari a tourné « Onoda » au Cambodge et en japonais. Photo DR
Le réalisateur Arthur Harari a remporté hier le prix Louis-Delluc pour son film Onoda, 10 000 nuits dans la jungle, une fresque humaniste sur la folie d’un soldat japonais. Projeté à Cannes en ouverture de la section Un certain regard, Onoda, tourné au Cambodge et en japonais, avait été salué par la critique.Le réalisateur y dresse le portrait d’un soldat japonais ne voulant ni la paix ni mourir et qui a continué de se battre 30 ans après la Seconde Guerre mondiale. Sorti en pleine crise sanitaire, il n’a cumulé que 45 512 entrées en salle.
Le réalisateur, né en 1981, succède au documentariste Sébastien Lifshitz, récompensé l’an dernier, a annoncé à l’AFP le président de ce prix, l’un des plus prestigieux du cinéma français, Gilles Jacob.
Composé d’une vingtaine de critiques et personnalités, sous la présidence de l’ancien président du Festival de Cannes, le jury a également récompensé, dans la catégorie premier film, Vers la bataille, d’Aurélien Vernhes-Lermusiaux.
Source : AFP
Le réalisateur Arthur Harari a remporté hier le prix Louis-Delluc pour son film Onoda, 10 000 nuits dans la jungle, une fresque humaniste sur la folie d’un soldat japonais. Projeté à Cannes en ouverture de la section Un certain regard, Onoda, tourné au Cambodge et en japonais, avait été salué par la critique.Le réalisateur y dresse le portrait d’un soldat japonais ne voulant ni...
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