
D.R.
Né en 1980 à Héraklion, Christos Markogiannakis est un auteur grec. Il a étudié le droit et la criminologie à Athènes et à Paris et travaillé pendant plusieurs années comme avocat pénaliste. Auteur de romans policiers et d’installations mêlant l’art et le crime, il a publié deux essais traduits en français aux éditions Le Passage : Scènes de crime au Louvre (2017) et Scènes de crime à Orsay (2018). Mourir en scène est son dernier roman traduit en français chez Albin Michel.
Quel est le principal trait de votre caractère ?
La persévérance.
Votre qualité préférée chez un homme ?
L’œil d’esthète.
Votre qualité préférée chez une femme ?
La détermination.
Qu'appréciez-vous le plus chez vos amis ?
Leur fidélité objective.
Votre principal défaut ?
L’impatience.
Votre occupation préférée ?
Écrire et lire, lire pour écrire, écrire pour vivre.
Votre rêve de bonheur ?
Une bibliothèque bourrée de livres et baignée de lumière, face à la méditerranée.
Quel serait votre plus grand malheur ?
Si, un jour, la muse ne vient pas à notre rendez-vous.
Ce que vous voudriez être ?
Lu, compris, aimé…
Le pays où vous désireriez vivre ?
Je suis cosmopolite, dans le sens grec du mot. Mon pays préféré est le monde entier.
La fleur que vous aimez ?
Le jasmin.
L'oiseau que vous préférez ?
La Callas (elle est un rossignol n’est-ce pas ?).
Vos auteurs favoris en prose ?
Edgar Allan Poe, Oscar Wilde, Agatha Christie, Nikos Kazantzakis, Émile Zola.
Vos poètes préférés ?
Constantin Cavafy, Charles Baudelaire, Khalil Gibran.
Vos héros dans la fiction ?
Les vilains bien décrits…
Vos compositeurs préférés ?
Wolfgang Amadeus Mozart, Gaetano Donizetti, Manos Hatjidakis.
Vos héros dans la vie réelle ?
Les Libanais !
Ce que vous détestez par-dessus tout ?
L’ingratitude.
Les caractères historiques que vous détestez le plus ?
Les dictateurs du XXe siècle, assoiffés de sang (qui malheureusement ont des successeurs et des fans au XXIe siècle).
Le fait militaire que vous admirez le plus ?
La bataille de Thermopyles.
La réforme que vous estimez le plus ?
L’abolition de la peine de mort.
L'état présent de votre esprit ?
Un optimisme irréaliste et impossible…
Comment aimeriez-vous mourir ?
Sans regrets !
Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?
La sérénité…
Les fautes qui vous inspirent le plus d'indulgence ?
Les fautes – bien aimées, bien vécues, jamais regrettées – de la jeunesse.
Votre devise ?
Aide-toi, Athéna t’aidera !