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"Le Liban n'est pas seul", affirme le bras droit du pape François à Beyrouth

Le cardinal Pietro Parolin (c) et le patriarche Raï (g) à la cathédrale Saint-Georges, dans le centre-ville de Beyrouth. Photo Ani

Le bras droit du pape François, le secrétaire d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, à Beyrouth pour une visite officielle, a affirmé que le Liban n'était pas seul, ajoutant que le Liban avait besoin du monde, et que le monde avait besoin du Liban. "Le Liban n'est pas seul. Nous nous tenons à vos côtés dans le silence et la solidarité pour exprimer notre amour pour vous", a déclaré le cardinal Parolin lors d'une rencontre avec des dignitaires religieux chrétiens et musulmans à la cathédrale maronite Saint-Georges. "Le Liban a besoin du monde, mais le monde a besoin de l'expérience unique du Liban en termes de solidarité et de liberté. Ensemble, nous reconstruirons Beyrouth", a-t-il souligné.

Le bras droit du souverain pontife a également effectué des visites de solidarité aux cathédrales grecque-orthodoxe et grecque-catholique, place de l’Étoile, ainsi qu’à la mosquée Mohammad el-Amine. Le cardinal Parolin célébrera la messe solennelle de prière pour le Liban à 20h30 dans la basilique Notre-Dame de Harissa.

Vendredi, le secrétaire d’État sera reçu à 10h au palais présidentiel de Baabda, avant de se rendre sur le site dévasté du port et un moment de recueillement devant la statue de l’Émigré. Il visitera ensuite les hôpitaux dévastés d’Achrafieh et aura des rencontres avec des victimes de l’explosion du 4 août. Après une visite suivie d’un déjeuner au siège patriarcal de Bkerké, le cardinal Parolin poursuivra sa visite des quartiers ravagés, avec un arrêt à l’église des moines baladites du quartier de la Quarantaine, qui s’est entièrement effondrée. Il se rendra ensuite directement à l’aéroport.

Mercredi, le pape avait appelé les croyants dans le monde à "une journée universelle de prière et de jeûne pour le Liban", demain vendredi, soit un mois après l'explosion meurtrière dans le port de Beyrouth.


Le bras droit du pape François, le secrétaire d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, à Beyrouth pour une visite officielle, a affirmé que le Liban n'était pas seul, ajoutant que le Liban avait besoin du monde, et que le monde avait besoin du Liban. "Le Liban n'est pas seul. Nous nous tenons à vos côtés dans le silence et la solidarité pour exprimer notre amour pour...