
L'entrée du centre mécanique de Hadeth. Photo Ani
Les centres d'inspections mécanique dans toutes les régions du pays ont fermé leurs portes mercredi, à l'appel de l’Union des syndicats du transport public, qui a ainsi repris ses actions revendicatives, suspendues le 9 juillet dernier. L'Union exige notamment que le contrôle mécanique soit confié à l’État et non plus à une société privée.
"Nous n'avons plus d'Etat. C'est pour cela que nous menons cette action aujourd'hui et fermé les centres qui fonctionnent sans cadre légal depuis 2015", a déclaré le président de cette union, Bassam Tleiss devant le centre de Hadeth, dans le caza de Baabda. "Nous ne voulons plus de promesses", a-t-il ajouté, rajoutant que l'inspection mécanique est sur le papier dans la giron de l'Etat depuis 2020.
Mardi, M. Tleiss avait déjà annoncé ces mesures d’escalade en présence d’autres responsables syndicaux, menaçant de recourir à une grève ouverte à partir du 29 juillet.
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