Mme Solh-Hamadé entourée des responsables d’Oum el-Nour. Photo fournie par la Fondation al-Walid ben Talal
La vice-présidente de la Fondation al-Walid ben Talal, l’ancienne ministre Leila Solh-Hamadé, s’est rendue hier au siège de l’association Oum el-Nour pour la réhabilitation de toxicomanes à Fataa où elle a été accueillie par le cofondateur et président honoraire de l’ONG, Mgr Guy Najm, en présence du PDG Gaby Debbaneh et des membres du conseil d’administration.
La visite s’inscrit dans le cadre du Programme d’aide aux ONG du Liban, mis en place par la fondation qui a ainsi remis par le biais de Mme Solh-Hamadé un don financier à Oum el-Nour. Dans une allocution, Mgr Najm a salué cette initiative et rendu hommage à l’investissement de la Fondation al-Walid ben Talal auprès des différentes associations caritatives, « sans rien escompter en retour ». Il a rappelé que c’est la fondation qui a bâti, il y a quatorze ans, le bâtiment qui accueille le centre de réhabilitation, baptisé de son nom.
Prenant la parole à son tour, Mme Solh-Hamadé a plaidé en faveur d’un État providence, soulignant que la mission de la Fondation al-Walid ben Talal « représente un devoir national et reflète un engagement à l’égard des générations futures ».
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