Les installations d'Aramco restent une cible et pourraient être attaquées "à tout moment", a déclaré lundi sur Twitter un porte-parole du mouvement houthi, au surlendemain de l'attaque de plusieurs infrastructures pétrolières saoudiennes.
Les Etats-Unis accusent Téhéran d'avoir conduit ces attaques qui ont entraîné une baisse de 5% de la production mondiale de pétrole mais les houthis, engagés dans une guerre civile pour le contrôle du Yémen, assurent en être responsables.
L'Arabie saoudite doit mettre un terme à "l'agression et au blocus" subis par le Yémen, a dit le porte-parole.
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