Le Conseil du développement et de la reconstruction (CDR) a estimé mardi que les alternatives proposées par les écologistes au projet de développement d'un barrage dans la vallée de Bisri ne permettent pas d'assurer les capacités en eau pour la région et coûteraient plus cher.
Le barrage doit servir à l'irrigation des terres agricoles et l'approvisionnement en eau potable de 1,6 million d'habitants. Militants écologistes et agriculteurs affirment que l'ouvrage sera érigé sur une faille sismique et proposent notamment de creuser plus de puits. Malgré les assurances du gouvernement et de la Banque mondiale, il disent craindre à la fois des séismes et une expropriation massive de terres agricoles. La Banque mondiale contribue au financement du projet avec un prêt de 474 millions de dollars.
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