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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit...

Les reines d’un soir au cœur d’un verger à Achrafieh...

Parmi les reines couronnées, Solange Gemayel et Salwa Tuéni.

Des pommes rouges glam
Super Épiphanie célébrée au Barbizon par Boutros et Marlène Harb qui ont réuni à dîner quelque 130 convives, dont Mona Hraoui, l'ambassadrice américaine au Liban Elizabeth Richard, Farid et Maha Makari, Fouad et Hoda Siniora, Samir et Joyce Mokbel, Nehmé et Thérèse Tohmé, Adnan et Raëda Kassar, Fayçal Karamé, Rony et Wadad Arayji, Achraf Rifi et son épouse, Elham Raphaël, Carlos et Nada Abou Jaoudé, Alecco et Nada Chiha, Rola Saad, Aziz et Yara Issa el-Khoury, Samir Alam, Gérard Tufenkjian et Samira Assi. Sans oublier Pierre et Randa Daher, leur fille Ray et son fiancé Maged Boutros Harb. Au programme, un vaste répertoire oriental et occidental interprété par Josiane el-Zir, et à grand croc les galettes des rois. Point fort, la décoration conçue par Nada Salamé qui a transformé le restaurant en verger de pommiers, avec dit-on 350 kilos de ce fruit au rouge très glam !

Marlène Harb était resplendissante : elle a chanté, dansé et enflammé le dance-floor, partageant son enthousiasme contagieux et son énergie débordante avec l'infatigable Myriam Skaff, qui malgré ses stilettos s'est lâchée sur la piste. Marwan Hamadé n'a pas tardé à les rejoindre. Après tout, qui dit que les ministres n'ont pas le droit de swinguer en soirée ?

Chaque table ayant sa bonne galette, tirer les rois a fait monter d'un cran la bruyante gaieté de la soirée. On cherchait à deviner où se trouve l'objet magique, à reconnaître la boursouflure, la craquelure, due à la présence de la fève. C'est en mordant dans la pâte que Solange Gemayel, Yolla Moufarrej, Joyce Mokbel, Guita Andraos, Salwa Tuéni, Antoinette Nahas et d'autres encore ont failli perdre une dent. Mais forcément heureuses, les Queens ont exhibé leurs fèves comme des trophées ! Dans le brouhaha de ces dames, personne n'a daigné prêter attention aux Kings. Pauvres hommes !

P.-S. : les pommes ont été distribuées le lendemain à des associations de bienfaisance.

 

Jabbour détient la clé de Beyrouth !
L'or et l'humour constituent la marque de fabrique de Sélim Mouzannar. Très enthousiasmé par la parution, aux éditions Actes Sud/L'Orient des livres, de l'ouvrage Le Manuscrit de Beyrouth, de Jabbour Doueihy, le joaillier a remis la clé (en or) de Beyrouth à l'écrivain zghortiote, lui attribuant le titre de citoyen d'honneur de la ville. Une initiative or...iginale, mais après tout, il est maître chez lui et cette pièce fait partie de sa collection privée. Cela s'est déroulé au cours d'un cocktail dînatoire offert par Sélim et Raya Mouzannar, qui ont réuni autour de l'auteur et de ses éditeurs Alexandre Najjar et Hind Darwiche, Wadad et l'ancien ministre de la Culture Rony Arayji, le consul général de France Karim Bencheikh et son épouse la directrice de l'Institut français du Liban Véronique Aulagnon, Élia Samaha, Ghassan Geagea, Nagib Zeidane, Chérif et Nayla Majdalani, Farès et Mona Sassine, Chebli Mallat, Antoine Courban, Nada Sehnaoui, Gisèle Khoury, Anne et Hala Frangié, Amal Makarem, Mary Salamé, Rima Younès, Nayla Chkaïbane, la comédienne Randa Asmar et d'autres encore. Sans oublier Paul Chaoul, Fifi Abou Dib et Carole Hatem qui ont, chacun à sa manière, présenté le livre de Doueihy.

 

SamaS bientôt chez nous ?
Sur son Facebook, Nadine Begdache révèle que plus de 54 000 personnes ont visité le pavillon libanais à la 57e Biennale d'art contemporain de Venise pour voir l'œuvre SamaS de Zad Moultaka. « L'engouement de la presse internationale et la fréquentation hors norme d'un public venant de tous les coins du globe témoignent du succès et de l'impact que notre pavillon a provoqué dans les esprits », écrit Mme Begdache, soulignant que cette aventure n'aurait pas pu voir le jour sans les généreux donateurs, le volontariat et le soutien des comités libanais et français. « Que cet accomplissement leur soit également dédié. » SamaS partira vers de nouveaux horizons dont Beyrouth très prochainement.

 

« Beyrouth l'anti-Dubaï »
« Beyrouth ne se définit pas, elle se vit, comme la promesse de la brise après une longue journée d'été (...) Beyrouth ne s'explique pas, elle est ! »
C'est par cette phrase, empruntée à Soraya Khalidy, que la journaliste Anne-France Berthelon entame son article-reportage Beyrouth l'anti-Dubaï, paru dans Ideat (n° 130, décembre 2017-janvier 2018).

Berthelon signe le portrait d'une ville à « l'hospitalité légendaire », mais aux bouchons monstres, aux côtes polluées, aux souks dessinés par le Pritzker Prize Rafael Moneo, « qui n'ont de souks que le nom puisqu'il s'agit d'un mall de luxe », aux appartements neufs qui ne trouvent pas preneur, aux maisons ottomanes pulvérisées sous les chenilles des bulldozers. Mais étrangement, Beyrouth n'a de cesse de séduire ceux qui la découvrent. La journaliste est tombée sous le « charme fou » des demeures libanaises reconverties en maisons d'hôte, comme celle de Zanzoun à Mar Mikhaël, vieille bâtisse restaurée par l'architecte Simone Kosremelli. Ou encore la « Princière BEYt Amir », rue d'Amérique – Clemenceau, avec son jardin, son café et restaurant « healthy », ses menus exotiques et les « somptueux volumes du rez-de-chaussée ».

Elle est épatée par le succès ébouriffant de Kamal Mouzawak, fondateur de Tawlet, qui s'est invité en pop-up chez Merci, à Paris. Par l'ONG Lebanese Food Bank qui a mis en place un système de collecte-redistribution alimentaire, auquel participent aussi bien des hôtels que des restaurants, ainsi que par le Musée Sursock, la Fondation Aïshti et les nombreuses galeries qui essaiment la ville. La liste est évidemment non exhaustive.
L'article est illustré par un nombre de photos, dont celles des céramistes Mary-Lynn Massoud et Rasham Nawam posant à la Carwan Gallery ; de l'immense portrait de la chanteuse et actrice Sabah, peint par le street-artist Yazan Halwani sur une façade d'un immeuble à Hamra ; de la boutique Rabih Kayrouz et celle de Starch, à Saifi Village ; de Chérine Magrabi fondatrice de la plate-forme « House of Today » qui présente à Design Miami cette année les créations de Sayar & Garibeh et Khaled el-Mays. La journaliste recommande à ses lecteurs de lire Histoire de Beyrouth, de Samir Kassir (éditions Fayard), et Le Goût de Beyrouth, un recueil de textes choisis et présentés par Soraya Khalidy (Mercure de France), qui a repris en main la boutique Artisans du Liban et d'Orient à la disparition de sa mère, Nadia el-Khoury.

 

ditavonbliss@hotmail.com

Des pommes rouges glamSuper Épiphanie célébrée au Barbizon par Boutros et Marlène Harb qui ont réuni à dîner quelque 130 convives, dont Mona Hraoui, l'ambassadrice américaine au Liban Elizabeth Richard, Farid et Maha Makari, Fouad et Hoda Siniora, Samir et Joyce Mokbel, Nehmé et Thérèse Tohmé, Adnan et Raëda Kassar, Fayçal Karamé, Rony et Wadad Arayji, Achraf Rifi et son épouse,...

commentaires (1)

Lisez le livre de Samir Kassir Histoire de Beyrouth il est super.

Eleni Caridopoulou

20 h 07, le 16 janvier 2018

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Commentaires (1)

  • Lisez le livre de Samir Kassir Histoire de Beyrouth il est super.

    Eleni Caridopoulou

    20 h 07, le 16 janvier 2018

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