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Lifestyle - Mode

À la croisée de Mad Max et du XVIIIe siècle

Vue de la collection Garen Demirdjian présentée à D Beirut. Photo DR

À peine sorti d'Esmod Paris, à la fin des années 90, Garen Demirdjian réussit à séduire L'Éclaireur, concept store parisien à la pointe des tendances, qui lui achète deux collections prêt-à-porter consécutives. En 2002, il crée sa propre marque, baptisée Gardem. C'est l'époque où il enchaîne les prix : meilleur jeune créateur pendant trois saisons consécutives, il est invité à quatre reprises à défiler à Londres. En 2008, il présente à Paris sa première collection haute couture qui lui vaut des mentions dans Vogue, Style, L'Officiel, The Guardian et d'autres. Le jeune créateur qui a grandi entre Beyrouth et Athènes se distingue par son originalité. Sa collection Paramnesia, une ligne prêt-à-porter lancée en 2009, confirme son style à la fois gothique et glamour, inspiré des cathédrales, de Mad Max, de la science-fiction et du XVIIIe siècle.
En 2010, désigné pour reprendre la direction artistique de la maison Basil Soda, il s'installe à Beyrouth et scelle son retour aux sources en créant parallèlement sa griffe personnelle : Garen Demirdjian. Le 27 avril dernier, à D Beirut, dans une mise en scène inattendue où les robes semblaient sortir d'un incubateur installé dans une salle vitrée séparée, il présentait sa toute dernière collection. Des contrastes de pastel et de noir, de rigide et de fluide, de doux et de rêche réaffirmaient avec force l'identité de ce créateur qui prône l'individualité et invite chaque femme à s'approprier ses robes pour « faire la différence ».

À peine sorti d'Esmod Paris, à la fin des années 90, Garen Demirdjian réussit à séduire L'Éclaireur, concept store parisien à la pointe des tendances, qui lui achète deux collections prêt-à-porter consécutives. En 2002, il crée sa propre marque, baptisée Gardem. C'est l'époque où il enchaîne les prix : meilleur jeune créateur pendant trois saisons consécutives, il est invité...

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