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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Michel et les poissons, et des platines endiamantées...

Michel Drucker à Zaytuna Bay en compagnie d’Amine Abi Yaghi. Photo DR

Wormsley à l'heure libanaise
C'est dans une forêt qu'elle fantasmait de célébrer son mariage. C'est fait. Au bras de Karim Fayez Elayan, Daniah (la fille de Ali Ghandour et Diane Jaffali) est entrée au cœur de ses rêves, dans la clairière de Wormsley, à 45 minutes à l'ouest de Londres, où, mêlant imagination et créativité tous azimuts, une gigantesque verrière a été reconstituée en une nouvelle forêt. Une vraie de vraie, avec même des Tarzan surfant sur les branches. Disney a définitivement perdu son monopole dans ce domaine ! N'ayant pas obtenu un visa pour Londres, les parents du marié ont malheureusement raté la fête. La soirée a débuté au son d'un orchestre de cuivres et autour d'un immense bar à cocktails, où les ladies en robe longue et les gentlemen en black tie se sont adonnés au rituel du welcome drink, avant d'emprunter une galerie illuminée de mille et une bougies, au bout de laquelle la forêt poursuit son déploiement sous un autre chapiteau. Là, en une ode aux cristaux et fleurs blanches, se dressaient les tables et une scène tourbillonnante de musiciens, chanteurs et blagueurs du Show Band Mibeley, qui a littéralement embrasé les lieux.
Tout le clan Ghandour était présent, à leur tête grand-mère Hyam, Wala' et Zina. Côté maternel, il y avait Souad Jaffali, Khaled et Oulfat, leur fille Loulou et son mari Sultan Oulayan. Dans l'assistance, May et l'ancien Premier ministre Nagib Mikati ; le président de l'Association des industriels Fadi Gemayel ; le président du syndicat des commerçants des produits agroalimentaires au Liban, Arslan Sinno, avec Hoda ; Mohammad et Yasmina Sinno ; Philippe Sednaoui, Naji Asfar, Paula et Nino Abdelnour, Youmna et Ricardo Karam, Dany et Jean-Marie Megarbané, Nayla et Semaan Bassil, Claude Kanaan, Nada et Élias Doumit, Nadine et Michel Zakkour, Néda et Ali Takieddine, Samir Lahoud, Malak et Rami el-Nemr, Bouchra et Mazen Salha, Nabil Sidawi, Rana et Mazen Kobrosli, Marie Ericsson et d'autres encore. Au total 300 convives, dont une moitié de jeunes, comme Nour Saïkali, Dalia Bayazid ou Bilal Mekkaoui, qui ont fait un boucan du tonnerre en trinquant et chahutant jusqu'au matin. La soirée était étincelante... et scintillante de gros cailloux qui sublimaient mains et cous d'un nombre d'invitées.

Pleins soleils à la Résidence
Vingt ans au service des petits enfants malades, cela s'applaudit. Et cela se fête. Pour marquer le vingtième anniversaire de l'association Les Petits Soleils présidée par Noha Baz, l'ambassadeur de France Emmanuel Bonne a offert l'espace de la Résidence des Pins. Mode, musique et gastronomie étaient au rendez-vous. Des mannequins en herbe (petits patients volontaires âgés de 9 à 17 ans) vêtus de la collection Slowear ont foulé le podium devant parents et amis. Le défilé a été suivi d'un dîner préparé par Nicolas Audi et animé par le Jazzmine Bey trio qui a fait swinguer un public conquis.
Autre moment fort de la soirée : Randa Tabbah a dévoilé une ligne de joaillerie dédiée à l'association, déclinée autour de la thématique du soleil pour le plus grand bonheur des présents, toutes générations confondues.

Drucker et la vieille femme
Michel Drucker, une des figures emblématiques du paysage audiovisuel français depuis 50 ans, était ravi de son séjour au Liban. Reçu, à son arrivée, au salon d'honneur de l'AIB, par le producteur du festival Beirut Holidays Amine Abi Yaghi, l'animateur a déposé sa valise à l'hôtel Monte Cassino, avant d'aller se faire un dîner calorique (cuisine libanaise) à la Maison M., à Naccache, en compagnie de l'attaché culturel près l'ambassade de France Éric Lebas et Cynthia Kanaan, de l'Institut français, ainsi que Jyad Murr et Nadine Fayad Comair. Mais c'est le poisson qui a la côte dans l'assiette de l'animateur. Chez Sami, le lendemain, il a été servi à volonté. Une bonne sieste a suivi le repas et le voilà en forme pour son one-man-show, au Casino, auquel assistait l'ambassadeur de France, Emmanuel Bonne. Ce dernier avait prévu de recevoir l'animateur à la Résidence des Pins, le dimanche, à déjeuner, mais à l'occasion du quarantième anniversaire de l'assassinat de Kamal Joumblatt, M. Bonne a dû faire cap sur Moukhtara. Drucker a alors promené sa silhouette entre le centre-ville, Aïn Mreissé et Raouché. Et lorsqu'une vieille femme lui tendit deux roses, le sourire de l'animateur s'est fendu jusqu'aux oreilles, certain qu'il a été reconnu dans la rue. Mais la dame, une miséreuse, attendait en échange quelques sous, lui a expliqué Amine Abi Yaghi ! C'est donc avec des fleurs à la main que Drucker a fait son entrée au Sporting où l'attendait à déjeuner Walid Bou Nassar, Nayla Issa et son frère Georges. L'après-midi même, l'animateur s'est envolé pour Paris.

Des Djettes qui en jettent
Oust les machos. Les filles se sont fait une place au soleil. Miss Jones – l'ex-restaurant Momo's at the Souks reconverti par Samer Rizk et Olivier Gasnier Duparc en piste de dance où l'on adore boire et manger – a twisté tout un week-end sur les remix de la reine des platines, Câline Chidiac, de Leila Sarkis (Djette) et de la supernova passionnée de musique, Médéa Azouri. Eighties, électro, rock ou salsa, elles ont mis le dancefloor en émoi. Mais c'est notre collègue qui a chamboulé son public, en clôturant la soirée avec Gigi L'Amoroso. Reprenant les paroles en chœur et à tue-tête, Rabih Kayrouz, Hady Sy, Nada Debs, Tania Khawam, Jad Habib et Joëlle Rizk, Marc Tabet, Marylynn Massoud, Karine Abou Arraj, Bouchra Boustany, Mariana Wehbé, Samer et Carla Nasr, Jihad et Jihane Féghali, Georgi et Caroline Mokbel et les autres ont virevolté jusque dans la rue, en chantant et en dansant ! Top.

À perte de vue... la vie en rose
La branche libanaise de l'Académie italienne de gastronomie a organisé un dîner de solidarité au sein de l'École des aveugles de Baabda, pour les membres et responsables de cette institution créée en 1958 par Zalfa Chamoun, Michel Doumit et Philippe Thomas. C'est avec une certaine allégresse que Pierre Chidiac et Najwa el-Khazen ont enfilé leur tablier pour concocter leur lasagne et fusilli. Déployant leurs talents, Émira Abillama, Najwa Ara' et Joumana Debbané ont mijoté de leurs blanches mains un Pollo al timo, Casciotto d'agnello arrosto et une Lombata di vitello al formo (à vous chers lecteurs de traduire !). Quant à Joseph Chémali et Mario Haddad, ils ne sont pas foulé la rate, ils ont apporté leur antipasti, bresaola, mozzarella et parmigiana, de chez un des meilleurs traiteurs ! Il n'en reste pas moins que c'était bon. Tout le monde le dit : Gilbert et Leila Yared, Alice Tamer, Mona Doumit, Jean-Marie et Dany Megarbané, Nadim et Simone Saïkali, Georges et Zeina Tabet, Viviane Eddé, Sami Zakka, Nada et Élias Doumit. Gaby Thomas a dégainé sa photo, à cinq ans avec le président Camille Chamoun, pour la montrer à Dotti et Dori Chamoun, Camille et Gaby Chamoun. Présents également, Pierre et Marielle Hneiné, Carole et Élias Issa, Catherine et Pierre Issa, qui a pris sa guitare pour accompagner Issa Goraieb (au saxo). En retour, la présidente des lieux Laure Doumit leur a offert un petit concert de la chorale des aveugles qui a chanté des extraits du répertoire oriental arabe. Le point d'orgue de la soirée reste toutefois la prestation d'une jeune non-voyante qui a interprété La vie en rose d'Édith Piaf. L'enthousiasme en plus... Le silence était écrasant. Et il n'y avait pas un œil sec dans toute l'assistance.

Rendons à César
Il y a lieu de corriger une erreur de transcription qui s'est glissée dans notre dernière rubrique. Sous le titre «Dalia en week-end à Luxor», il y a eu un oubli malencontreux dans la liste des participants : Raja, Salam, la maman de Dalia Rishani, était à la tête du groupe et l'initiatrice de ce voyage.

ditavonbliss@hotmail.com

Wormsley à l'heure libanaiseC'est dans une forêt qu'elle fantasmait de célébrer son mariage. C'est fait. Au bras de Karim Fayez Elayan, Daniah (la fille de Ali Ghandour et Diane Jaffali) est entrée au cœur de ses rêves, dans la clairière de Wormsley, à 45 minutes à l'ouest de Londres, où, mêlant imagination et créativité tous azimuts, une gigantesque verrière a été reconstituée...

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