La patronne du FMI Christine Lagarde a affirmé à l'AFP qu'elle ne verrait pas d'un mauvais oeil l'arrivée d'une femme à la Maison Blanche.
"Et pourquoi pas?", a lancé la dirigeante, interrogée sur la possibilité qu'une femme soit pour la première fois élue à la tête de la première puissance mondiale.
Ce scénario pourrait bien devenir réalité cette année si la démocrate Hillary Clinton devançait son rival républicain Donald Trump lors de l'élection présidentielle du 8 novembre.
Sans dévoiler sa préférence sur le scrutin américain, Mme Lagarde a plus généralement affirmé qu'avoir plus de femmes à la table des dirigeants constituerait un "changement bienvenu".
"Je vois le rôle des femmes prendre de l'ampleur dans l'ensemble des pays", a déclaré Mme Lagarde, première femme à présider le Fonds monétaire international, citant notamment le Royaume-Uni.
"Quand je vois les programmes politiques au Royaume-Uni, les femmes émergent. Quand je regarde ceux qui étaient actifs pendant la campagne du Brexit, je vois des femmes", a encore déclaré celle qui fut la première femme ministre de l'Economie en France.
La ministre britannique de l'Intérieur Theresa May figure parmi les favoris à la succession de David Cameron pour le poste de Premier ministre britannique.
"Et pourquoi pas?", a lancé la dirigeante, interrogée sur la possibilité qu'une femme soit pour la première fois élue à la tête de la première puissance mondiale.
Ce scénario pourrait bien devenir réalité cette année si la démocrate Hillary...
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