Les familles des militaires libanais enlevés début août par des jihadistes à Ersal ont bloqué lundi en début de soirée la route devant le Grand Sérail, à Beyrouth, à l'aide de pneus en feu.
Plus tôt dans la journée, les familles avaient brièvement bloqué la route de Saïfi, axe principal reliant Beyrouth au nord de la capitale, et affirmé qu'il s'agissait d'une "mise en garde", menaçant d'une nouvelle escalade. Les proches des militaires réclament des avancées sérieuses dans les négociations et des informations sur le sort de leurs fils.
Vingt-cinq soldats et agents des Forces de sécurité intérieure (FSI) sont toujours retenus depuis début août par le Front al-Nosra et l'EI, probablement dans le jurd d'Ersal, dans la Békaa. Quatre otages ont déjà été assassinés, dont deux par décapitation.
Plus tôt dans la journée, les familles avaient brièvement bloqué la route de Saïfi, axe principal reliant Beyrouth au nord de la capitale, et affirmé qu'il s'agissait d'une "mise en garde",...
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