« Fara », c'est ainsi qu'il m'interpelait, ce grand frère aux qualités humaines incomparables. Adultes et enfants appréciaient son approche affable, toujours teintée, fort à propos, d'un trait d'humour.
Touma le bienheureux : c'est le surnom que je t'avais donné et que tu portais si bien. Tu nous as quittés comme tu as vécu : à croire que tu as croqué la mort comme tu croquais la vie.
Il y a des morts-vivants et des vivants-morts, ceux-là qui passent à côté de la vie. Sans laisser de traces. Tu fais évidemment partie de la première catégorie.
Mon frère, mon ami, mon complice, comment ne pas sourire quand j'évoque ton nom ? Ce sourire ne quittera jamais mes lèvres.
Au revoir, Tamtoum, « ya sanadeh ».
« Fara », c'est ainsi qu'il m'interpelait, ce grand frère aux qualités humaines incomparables. Adultes et enfants appréciaient son approche affable, toujours teintée, fort à propos, d'un trait d'humour.Touma le bienheureux : c'est le surnom que je t'avais donné et que tu portais si bien. Tu nous as quittés comme tu as vécu : à croire que tu as croqué la mort comme tu croquais la...
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