M. Ban a exprimé ses condoléances et "a salué la manière dont le Premier ministre, le gouvernement et le président (libanais) avaient réagi" à l'attentat de vendredi, qui a coûté la vie au chef des renseignements de la police libanaise Wissam al-Hassan et à sept autres personnes.
Dès vendredi, M. Ban et le Conseil de sécurité de l'ONU avaient condamné fermement l'attentat. Ils avaient invité les Libanais à faire preuve de retenue et à préserver l'unité nationale du Liban.
L'attentat a provoqué un séisme politique au Liban, mais malgré les appels à sa démission, le Premier ministre a choisi de rester à son poste dans "l'intérêt national" et pour éviter "le vide politique".
L'opposition libanaise a appelé à une mobilisation massive contre la Syrie lors de l'enterrement dimanche à Beyrouth du général Wissam al-Hassan, bête noire du régime syrien tué dans un attentat à la voiture piégée.
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