"Nous nous attendons à recevoir une offre très bientôt, il est incapable de respirer" désormais, a affirmé Abdel Hafiz Ghoga, vice-président du Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion.
Il a précisé que le CNT n'était pas en contact direct avec Mouammar Kadhafi, mais qu'il avait compris, via des contacts avec la France et l'Afrique du Sud, qu'une offre était en train d'être élaborée.
"Des pays ont été choisis par le régime de Kadhafi pour présenter une proposition au Conseil national de transition, mais nous n'avons rien reçu pour le moment", a-t-il dit.
"Nous étudierons (cette offre) sérieusement", a déclaré M. Ghoga, tout en réaffirmant que le CNT exigeait comme préalable à tout accord le départ de Mouammar Kadhafi et de sa famille du pouvoir et de la politique.
"Nous voulons préserver la vie, donc nous voulons mettre un terme à la guerre le plus vite possible", a-t-il souligné, ajoutant: "nous lui avons toujours laissé une marge de manoeuvre pour partir".
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