Le fils de l'Iranienne Sakineh Mohammadi-Ashtiani condamnée à mort par lapidation pour adultère, a appelé le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, à continuer d'insister auprès de Téhéran pour essayer de sauver sa mère.
Dans une interview au quotidien 0 Globo de jeudi, Sajjad Ghaderzade, "appelle avec véhémence le président Lula, à continuer dans cette direction".
"S'il vous plaît, ne nous abandonnez pas, ne nous laissez pas seuls dans cette lutte. Votre voix a plus de poids devant le président (iranien Mahmoud Ahmadinejab) que la nôtre", implore Ghaderzade.
Le président Lula a milité pendant des mois pour éviter de nouvelles sanctions à l'Iran dans le cadre de son programme nucléaire et il a effectué en mai une visite officielle à Téhéran. Mais en juin, le Conseil de sécurité de l'ONU a finalement adopté les sanctions.
Fin juillet, Lula a proposé publiquement d'octroyer l'asile à Sakineh Ashtiani bien que Téhéran ait demandé aux pays occidentaux de ne pas s'immiscer dans la question.
"Le geste de Lula lui proposant l'asile a eu un effet très positif. A partir de là, on a mieux divulgué notre situation dans le monde; la tentative du régime (iranien) d'exécuter une femme d'une manière médiévale", a souligné le jeune homme âgé de 21 ans.
La condamnation à mort par lapidation de cette Iranienne de 43 ans, mère de deux enfants, a déclenché une vaste campagne internationale pour éviter ce châtiment qui a été provisoirement suspendu.
Ghaderzade a ajouté que le régime de Téhéran essayait maintenant d'impliquer leur mère dans l'assassinat de leur père, afin de la condamner.
Il affirme que sa vie et celle de sa soeur (âgée de 16 ans) est devenue "un véritable cauchemar".
"Le moment le plus difficile de ma vie a été d'entendre que ma mère avait été condamnée à mort par lapidation".
Dans une interview au quotidien 0 Globo de jeudi, Sajjad Ghaderzade, "appelle avec véhémence le président Lula, à continuer dans cette direction".
"S'il vous plaît, ne nous abandonnez pas, ne nous laissez pas seuls dans cette lutte. Votre voix a plus de poids devant le président (iranien Mahmoud Ahmadinejab) que la nôtre", implore Ghaderzade.
Le président Lula a milité pendant des mois pour éviter de nouvelles sanctions à l'Iran dans le cadre de son programme nucléaire et il a effectué en mai une visite officielle à Téhéran. Mais en juin, le Conseil de sécurité de l'ONU a finalement adopté les sanctions.
Fin juillet, Lula a proposé publiquement d'octroyer l'asile à Sakineh Ashtiani bien que Téhéran ait demandé aux pays occidentaux de ne pas s'immiscer dans la question.
"Le geste de Lula lui proposant l'asile a eu un effet très positif. A partir de là, on a mieux divulgué notre situation dans le monde; la tentative du régime (iranien) d'exécuter une femme d'une manière médiévale", a souligné le jeune homme âgé de 21 ans.
La condamnation à mort par lapidation de cette Iranienne de 43 ans, mère de deux enfants, a déclenché une vaste campagne internationale pour éviter ce châtiment qui a été provisoirement suspendu.
Ghaderzade a ajouté que le régime de Téhéran essayait maintenant d'impliquer leur mère dans l'assassinat de leur père, afin de la condamner.
Il affirme que sa vie et celle de sa soeur (âgée de 16 ans) est devenue "un véritable cauchemar".
"Le moment le plus difficile de ma vie a été d'entendre que ma mère avait été condamnée à mort par lapidation".
Le fils de l'Iranienne Sakineh Mohammadi-Ashtiani condamnée à mort par lapidation pour adultère, a appelé le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, à continuer d'insister auprès de Téhéran pour essayer de sauver sa mère.Dans une interview au quotidien 0 Globo de jeudi, Sajjad Ghaderzade, "appelle avec...
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