Plusieurs centaines de personnes - journalistes, personnalités du monde de la presse ou de la politique - se sont réunies jeudi à Paris, pour manifester leur soutien à deux journalistes de la télévision publique France 3 otages en Afghanistan depuis 250 jours.
Quelques signes encourageants d'une libération prochaine d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier ont été exprimés lors de ce rassemblement organisé devant le siège de l'Agence France-Presse, sur la place de la Bourse à Paris.
Jean Réveillon, conseiller spécial du président de France Télévisions (dont France 3 est l'une des chaînes), a évoqué "la confiance" de la direction du groupe audiovisuel public dans une libération prochaine.
Elise Lucet, productrice de l'émission "Pièces à Conviction" pour laquelle travaillaient les deux journalistes au moment de leur enlèvement, a évoqué des "avancées réelles". "Ce qu'on nous dit en ce moment, on ne nous l'avait jamais dit", a-t-elle déclaré, sans autres précisions.
Le rassemblement se tenait à l'initiative conjointe de la Mairie de Paris, du Comité de soutien aux deux journalistes, du Syndicat national des journalistes (SNJ) et de la Société des journalistes de la rédaction nationale de France 3.
Les deux journalistes de France 3 et leurs trois accompagnateurs afghans avaient été enlevés le 30 décembre dans la province de Kapisa, dans l'est de l'Afghanistan, où est stationnée une partie des forces françaises engagées avec les troupes de l'Otan.
Ils mettaient un terme à un reportage, et n'étaient plus sous la protection des soldats français au moment de leur enlèvement, alors qu'ils l'étaient au début de leur enquête.
Quelques signes encourageants d'une libération prochaine d'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier ont été exprimés lors de ce rassemblement organisé devant le siège de l'Agence France-Presse, sur la place de la Bourse à Paris.
Jean Réveillon, conseiller spécial du président de France Télévisions (dont France 3 est l'une des chaînes), a évoqué "la confiance" de la direction du groupe audiovisuel public dans une libération prochaine.
Elise Lucet, productrice de l'émission "Pièces à Conviction" pour laquelle travaillaient les deux journalistes au moment de leur enlèvement, a évoqué des "avancées réelles". "Ce qu'on nous dit en ce moment, on ne nous l'avait jamais dit", a-t-elle déclaré, sans autres précisions.
Le rassemblement se tenait à l'initiative conjointe de la Mairie de Paris, du Comité de soutien aux deux journalistes, du Syndicat national des journalistes (SNJ) et de la Société des journalistes de la rédaction nationale de France 3.
Les deux journalistes de France 3 et leurs trois accompagnateurs afghans avaient été enlevés le 30 décembre dans la province de Kapisa, dans l'est de l'Afghanistan, où est stationnée une partie des forces françaises engagées avec les troupes de l'Otan.
Ils mettaient un terme à un reportage, et n'étaient plus sous la protection des soldats français au moment de leur enlèvement, alors qu'ils l'étaient au début de leur enquête.
Plusieurs centaines de personnes - journalistes, personnalités du monde de la presse ou de la politique - se sont réunies jeudi à Paris, pour manifester leur soutien à deux journalistes de la télévision publique France 3 otages en Afghanistan depuis 250 jours.Quelques signes encourageants d'une libération prochaine d'Hervé...
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