Le président du parlement iranien et ex-principal négociateur du nucléaire pour son pays, Ali Larijani, a accusé lundi les Nations unies de ne pas oeuvrer en faveur de la paix dans le monde, en étant sous le contrôle notamment des Etats-Unis.
"La structure actuelle de pouvoir a non seulement été incapable de garantir la paix et la sécurité internationales, mais elle a également conduit à l'émergence de nouveaux phénomènes comme le terrorisme", a asséné M. Larijani, devant la 3e conférence mondiale des présidents de parlements organisée par l'Union interparlementaire (UIP) à Genève.
"Cette incapacité (des organisations) est due aux doubles standards et aux politiques unilatérales mises en place par les grandes puissances, dont les Etats-Unis", a-t-il dénoncé.
Il a ainsi critiqué une "utilisation instrumentalisée des organismes internationaux spécialisés", citant l'Agence internationale de l'energie atomique (AIEA) ainsi que les Nations unies.
M. Larijani a ensuite exhorté les parlementaires réunis à Genève à créer un nouvel organisme -- composé de "l'élite" de l'UIP et de l'ONU -- qui serait chargé de suivre des "missions pacifiques et justes", sans toutefois préciser qu'elles seraient ses fonctions. Ni si cet organisme s'occuperait uniquement du nucléaire.
Considérant que le programme nucléaire de Téhéran reste "pacifique", le président du parlement iranien a déclaré que les "mesures illégales et inhumaines" prises par le Conseil de sécurité n'empêcheraient pas l'Iran d'atteindre son "objectif".
M. Larijani a profité de son passage à Genève pour s'entretenir de cette question avec le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Interrogé par les médias à la suite de cette rencontre, le chef de l'ONU s'est contenté d'indiquer qu'ils avaient discuté de la façon dont "la question du nucléaire iranien pouvait être résolue de façon pacifique".
"J'ai souligné qu'il était important que le gouvernement iranien coopère avec la communauté internationale et résolve ces questions par le dialogue et la négociation", a-t-il expliqué.
Plus de 150 présidents de parlements sont attendus pour la réunion de trois jours de l'UIP, dont le siège est à Genève, qui se tient tous les cinq ans.
"La structure actuelle de pouvoir a non seulement été incapable de garantir la paix et la sécurité internationales, mais elle a également conduit à l'émergence de nouveaux phénomènes comme le terrorisme", a asséné M. Larijani, devant la 3e conférence mondiale des présidents de parlements organisée par l'Union interparlementaire (UIP) à Genève.
"Cette incapacité (des organisations) est due aux doubles standards et aux politiques unilatérales mises en place par les grandes puissances, dont les Etats-Unis", a-t-il dénoncé.
Il a ainsi critiqué une "utilisation instrumentalisée des organismes internationaux spécialisés", citant l'Agence internationale de l'energie atomique (AIEA) ainsi que les Nations unies.
M. Larijani a ensuite exhorté les parlementaires réunis à Genève à créer un nouvel organisme -- composé de "l'élite" de l'UIP et de l'ONU -- qui serait chargé de suivre des "missions pacifiques et justes", sans toutefois préciser qu'elles seraient ses fonctions. Ni si cet organisme s'occuperait uniquement du nucléaire.
Considérant que le programme nucléaire de Téhéran reste "pacifique", le président du parlement iranien a déclaré que les "mesures illégales et inhumaines" prises par le Conseil de sécurité n'empêcheraient pas l'Iran d'atteindre son "objectif".
M. Larijani a profité de son passage à Genève pour s'entretenir de cette question avec le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Interrogé par les médias à la suite de cette rencontre, le chef de l'ONU s'est contenté d'indiquer qu'ils avaient discuté de la façon dont "la question du nucléaire iranien pouvait être résolue de façon pacifique".
"J'ai souligné qu'il était important que le gouvernement iranien coopère avec la communauté internationale et résolve ces questions par le dialogue et la négociation", a-t-il expliqué.
Plus de 150 présidents de parlements sont attendus pour la réunion de trois jours de l'UIP, dont le siège est à Genève, qui se tient tous les cinq ans.
Le président du parlement iranien et ex-principal négociateur du nucléaire pour son pays, Ali Larijani, a accusé lundi les Nations unies de ne pas oeuvrer en faveur de la paix dans le monde, en étant sous le contrôle notamment des Etats-Unis."La structure actuelle de pouvoir a non seulement été incapable de garantir la paix et la...
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