M. Mirza a également lancé un mandat d'arrêt contre un quatrième homme, pour les mêmes accusations.
Selon la loi, le procureur général au Liban doit intervenir en cas de pamphlet, diffamation à l'encontre du président, qu'un plaignant se présente ou non.
Le ministre de la Justice, Ibrahim Najjar, a indiqué que cette affaire justifiait un procès pour calomnie et diffamation.
"La liberté des média au Liban et dans tout pays civilisé atteint ses limites quand son contenu n'est que pure calomnie et vise à saper le chef de l'État", dit-il dans un communiqué.
Il a invoqué la loi sur les média et le code pénal pour justifier les poursuites contre les contenus en question, soulignant que "les commentaires peu convenables publiés sur des sites internet sont passibles de poursuites et de peines".
Les messages incriminés postés sur Facebook n'étaient pas accessibles lundi.
Les plus commentés
Raï appelle à "ne pas succomber aux pressions et tentations" de l'UE, après le don d'un milliard d'euros de Bruxelles
Berlin, l’Eldorado perdu des Arabes
Écran noir pour Al-Jazeera en Israël