L'ambassadeur de France à Téhéran, Bernard Poletti, a rencontré hier pour la première fois l'universitaire française Clotilde Reiss, accusée d'espionnage et détenue en Iran depuis le 1er juillet. « La rencontre était plutôt longue.
Elle a duré environ 40 minutes. Physiquement, elle était en bonne condition, mais elle était préoccupée par ce qu'il va se passer par la suite », a déclaré à l'AFP une source diplomatique. « L'ambassadeur lui a remis des messages de sa famille », a ajouté cette source qui a requis l'anonymat. La rencontre s'est déroulée à la prison d'Evine, dans le nord de Téhéran, où elle est détenue.
Selon une autre source diplomatique, la Française a été « interrogée, mais pas maltraitée. Elle a une forte personnalité et elle parle farsi couramment ».
Elle a duré environ 40 minutes. Physiquement, elle était en bonne condition, mais elle était préoccupée par ce qu'il va se passer par la suite », a déclaré à l'AFP une source diplomatique. « L'ambassadeur lui a remis des messages de sa famille », a ajouté cette source qui a requis l'anonymat. La rencontre s'est déroulée à la prison d'Evine, dans le nord de Téhéran, où elle est détenue.
Selon une autre source diplomatique, la Française a été « interrogée, mais pas maltraitée. Elle a une forte personnalité et elle parle farsi couramment ».
L'ambassadeur de France à Téhéran, Bernard Poletti, a rencontré hier pour la première fois l'universitaire française Clotilde Reiss, accusée d'espionnage et détenue en Iran depuis le 1er juillet. « La rencontre était plutôt longue. Elle a duré environ 40 minutes. Physiquement, elle était en...
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