« Il est tout à fait normal que des Libanais soient primés par l'Académie française », affirme Hélène Carrère d'Encausse. La place primordiale du Liban au sein de la francophonie ne fait aucun doute, ajoute la secrétaire perpétuelle de l'Académie qui insiste sur la dimension multiculturelle du pays du Cèdre. « Ce n'est donc pas un hasard que quatre Libanais aient reçu des prix cette année », insiste-t-elle.
Hélène Carrère d'Encausse revient ainsi sur les œuvres des quatre lauréats libanais, Alexandre Najjar, Vénus Khoury-Ghata, Hyam Mallat et Wajdi Mouawad. Selon elle, le nom d'Alexandre Najjar est revenu régulièrement durant les années précédentes. De même pour Vénus Khoury-Ghata, alors que l'Académie lui a consacré cette année le Grand Prix de la poésie.
Hélène Carrère d'Encausse imagine déjà l'ambiance durant la remise des prix en décembre prochain, quand les quatre Libanais recevront leur distinction. Selon elle, les Libanais ont également leur place au sein de l'Académie, pas seulement pour l'obtention de prix. Si l'Académie française était plus ouverte aux femmes il y a une quinzaine d'années, la poète et romancière d'origine libanaise Andrée Chédid y aurait été membre.
Hélène Carrère d'Encausse revient en outre sur la candidature d'Amin Maalouf. Selon elle, l'écrivain aura sûrement sa place au sein de l'Académie un jour. « Il faut patienter et essayer maintes fois avant d'y arriver », conclut-elle.
Hélène Carrère d'Encausse revient ainsi sur les œuvres des quatre lauréats libanais, Alexandre Najjar, Vénus Khoury-Ghata, Hyam Mallat et Wajdi Mouawad. Selon elle, le nom d'Alexandre Najjar est revenu régulièrement durant les années précédentes. De même pour Vénus Khoury-Ghata, alors que l'Académie lui a consacré cette année le Grand Prix de la poésie.
Hélène Carrère d'Encausse imagine déjà l'ambiance durant la remise des prix en décembre prochain, quand les quatre Libanais recevront leur distinction. Selon elle, les Libanais ont également leur place au sein de l'Académie, pas seulement pour l'obtention de prix. Si l'Académie française était plus ouverte aux femmes il y a une quinzaine d'années, la poète et romancière d'origine libanaise Andrée Chédid y aurait été membre.
Hélène Carrère d'Encausse revient en outre sur la candidature d'Amin Maalouf. Selon elle, l'écrivain aura sûrement sa place au sein de l'Académie un jour. « Il faut patienter et essayer maintes fois avant d'y arriver », conclut-elle.
« Il est tout à fait normal que des Libanais soient primés par l'Académie française », affirme Hélène Carrère d'Encausse. La place primordiale du Liban au sein de la francophonie ne fait aucun doute, ajoute la secrétaire perpétuelle de l'Académie qui insiste sur la dimension multiculturelle du pays du...
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