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Actualités - CHRONOLOGIE

Le CSC dénonce le laxisme du pouvoir dans l’affaire Sadr

Le Conseil supérieur chiite, réuni en son siège (rénové) de Hazmieh, a affirmé hier que « la disparition de l’imam Moussa Sadr et ses compagnons a été l’un des plus grands dangers auxquels a été exposé le Liban ». C’est ce qu’a déclaré hier le vice-président du CSC, cheikh Abdel Amir Kabalan, à l’occasion de la commémoration de la disparition du dignitaire chiite. Cheikh Kabalan a rappelé que l’imam Sadr est celui qui « a fondé la résistance pour protéger le Liban des ambitions israéliennes et défendu la cause palestinienne. Il s’est également attaché à la coexistence tout en rejetant la guerre civile et en œuvrant pour l’unité ». Le CSC a en outre, une nouvelle fois, condamné dans un communiqué le régime libyen qu’il accuse d’être derrière la disparition de l’imam chiite et ses compagnons. Il a, par ailleurs, dénoncé le laxisme dont fait preuve le pouvoir sur ce plan. Par ailleurs, le mouvement Amal a annoncé dans un communiqué qu’il a organisé, lundi dernier, une cérémonie à Téhéran à l’occasion de la disparition de l’imam Sadr.
Le Conseil supérieur chiite, réuni en son siège (rénové) de Hazmieh, a affirmé hier que « la disparition de l’imam Moussa Sadr et ses compagnons a été l’un des plus grands dangers auxquels a été exposé le Liban ».
C’est ce qu’a déclaré hier le vice-président du CSC, cheikh Abdel Amir Kabalan, à l’occasion de la commémoration de la disparition du dignitaire chiite....