Actualités - CHRONOLOGIE
L’armée patrouille dans les décombres pour arrêter les pillages
le 20 août 2007 à 00h00
Des centaines de policiers et soldats fortement armés patrouillaient hier au Pérou dans les décombres des zones ravagées, il y a quatre jours, par le séisme pour arrêter les pillages au milieu des secouristes qui ont presque abandonné l’espoir de retrouver des survivants. Plus d’un millier de policiers et soldats armés de fusils d’assaut quadrillent les villes à moitié détruites par le puissant tremblement de terre. Le président Alan Garcia a menacé samedi soir d’imposer un couvre-feu, déclarant qu’on devait « coûte que coûte » arrêter les pillages. Dans la nuit de samedi à dimanche, plusieurs puissantes répliques, dont la plus forte, à 20h23, a atteint 5,5 sur l’échelle de Richter, ont secoué la capitale Lima et la région du séisme. Ces secousses ont semé la panique parmi les milliers de sinistrés dormant encore sous un froid hivernal dans les rues de Pisco, Ica et Chincha. Les habitants, affolés, ont revécu avec angoisse le tremblement de terre de mercredi. La réplique n’a pas causé de victimes ni fait de dommages matériels. C’est la plus forte secousse depuis le violent tremblement de terre de mercredi qui a fait, selon le dernier bilan provisoire, plus de 500 morts et au moins 2 000 blessés, a indiqué l’Institut géophysique du Pérou (IGP).
Des centaines de policiers et soldats fortement armés patrouillaient hier au Pérou dans les décombres des zones ravagées, il y a quatre jours, par le séisme pour arrêter les pillages au milieu des secouristes qui ont presque abandonné l’espoir de retrouver des survivants. Plus d’un millier de policiers et soldats armés de fusils d’assaut quadrillent les villes à moitié détruites...
Les plus commentés
Naïm Kassem à l'État libanais : « Ne testez pas notre patience »
Macron appelle à « accélérer » la mise en œuvre du cessez-le-feu au Liban
Un bain de foule, mais deux ambiances, pour Emmanuel Macron à Beyrouth