« Nous faisons partie de ceux qui ont perdu un être cher lors du crash de Cotonou, et nous...
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Crash de Cotonou Lettre ouverte au chef de l’État : justice doit être faite
le 20 juillet 2004 à 00h00
Abdallah, Nassir et Mariam, les enfants de Atef Neemé, une victime du crash de Cotonou, ont adressé hier une lettre ouverte au président de la République, le général Émile Lahoud, l’appelant à sanctionner les responsables de la catastrophe aérienne. En voici quelques extraits :
« Nous faisons partie de ceux qui ont perdu un être cher lors du crash de Cotonou, et nous essayons, à partir de Cotonou et de Beyrouth, de suivre l’enquête sur le crash. Nous appelons à ce que les responsables de la mort des innocents qui étaient à bord du vol Cotonou-Beyrouth soient sanctionnés.
« Si nous suivons l’affaire, ce n’est certes pas afin encaisser des indemnités, mais parce que nous tenons à ce que justice soit faite (…) ; La vie de nos bien-aimés ayant péri dans le crash n’a pas de prix.
« Nous regrettons profondément de voir les responsables du crash toujours libres de leurs mouvements au Liban (…). Ils misent probablement sur le temps pour que l’affaire soit oubliée ; ils sont certes soutenus par ceux qui les ont déjà aidés à obtenir un permis d’atterrissage à Beyrouth. »
Abdallah, Nassir et Mariam, les enfants de Atef Neemé, une victime du crash de Cotonou, ont adressé hier une lettre ouverte au président de la République, le général Émile Lahoud, l’appelant à sanctionner les responsables de la catastrophe aérienne. En voici quelques extraits :
« Nous faisons partie de ceux qui ont perdu un être cher lors du crash de Cotonou, et nous...
« Nous faisons partie de ceux qui ont perdu un être cher lors du crash de Cotonou, et nous...
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