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« Marie-Claire », le vrai du faux

L’article publié dans le numéro de février de Marie-Claire continue de soulever l’indignation de certaines lectrices. De la Libanaise et du Liban, il y a bien plus à dire que ce qu’un article de Marie-Claire peut dire. Il s’agit là de l’éclat d’une société d’après-guerre déroutée par le présent. D’une société de boîtes de nuit aussi, corrompue par la recherche de l’argent et du plaisir, qui découvre la liberté et la frivolité. Il en existe sous tous les tropiques. Le titre de l’article est provocateur, mais son contenu est moins méchant. De la Libanaise, il y a aussi à dire ce qu’a si parfaitement dit Nada Nassar-Chaoul de la mère. Et de la mer. De cette microsociété dont parle Marie-Claire, nous voyons le reflet dans tous les magazines de mondanités où cette société narcissique aime se voir. Il y a beaucoup de vrai dans tout ça, mais aussi beaucoup de faux. Qu’est-ce que Marie-Claire, d’ailleurs, sinon le reflet de ces choses volages ? Dans le courrier, cette semaine, figurent aussi une réflexion sur les risques de « formatage du comportement » dans le soin des troubles de l’attention et l’instabilité psychomotrice chez l’enfant, un nouveau commentaire sur la polémique sur le voile islamique en France, une réaction à l’éditorial de Issa Goraïeb consacré à la surprenante décision d’Ariel Sharon de démanteler les colonies de peuplement de Gaza, enfin une pointe sur le respect du code de la route... et des autres. Fady NOUN
L’article publié dans le numéro de février de Marie-Claire continue de soulever l’indignation de certaines lectrices. De la Libanaise et du Liban, il y a bien plus à dire que ce qu’un article de Marie-Claire peut dire. Il s’agit là de l’éclat d’une société d’après-guerre déroutée par le présent. D’une société de boîtes de nuit aussi, corrompue par la recherche de...