Le communiqué a souligné que «la commission s’est penchée sur les atteintes aux principes des libertés publiques et démocratiques». Elle a appelé le pouvoir à arrêter immédiatement ces agissements «qui non seulement violent la constitution et les lois mais mènent surtout à l’abolition de toute vie démocratique». La commission a également estimé que «la subordination de la magistrature à la politique ne fait que paralyser la liberté de la première et empêcher l’établissement d’un Etat de droit».
«Les atteintes aux libertés publiques et essentiellement à la liberté de la presse et à celle des syndicats conduiront au monopole de l’information et porteront atteinte aux droits du citoyen», a noté le communiqué.
Les plus commentés
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes
Don européen : qui dira quoi lors de la séance parlementaire du 15 mai ?
Le temps des engourdis