Commentant la polémique et les surenchères politiques qui marquent l’actualité locale dans les circonstances présentes, cheikh Fadlallah a déclaré: «Tout en reconnaissant certains aspects positifs dans l’action des responsables, nous les invitons à plancher sur la réalité socio-économique actuelle. Le problème social a atteint la cote d’alerte, plus particulièrement en ce début d’année scolaire».
Cheikh Fadlallah a conclu: «De nombreux élèves sont dans la rue et n’ont pas été en mesure de s’inscrire dans les écoles car leurs parents n’ont pas les moyens de payer les frais d’inscription dans les écoles publiques. La réalité actuelle fait planer le spectre d’une révolte sociale populaire aux conséquences imprévisibles».
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
À Meis el-Jabal, « quatre innocents ont été tués » par une frappe israélienne
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes