Dans un communiqué, les propriétaires des terrains touchés par l’échangeur de Sofar ont appelé «les trois présidents, les ministres des Travaux publics et des Finances et les députés et responsables» à «prendre garde à la catastrophe qui risque de se produire».
«Nous ne sommes pas contre le projet de l’autorité arabe en dépit des répercussions négatives qu’il pourrait avoir sur Sofar et son rôle touristique. Nous sommes simplement contre la légalisation du vol de nos terrains et notre appauvrissement», ont souligné les signataires.
«Nous sommes également contre la création d’une quelconque société foncière dans notre région car cela va à l’encontre de nos valeurs religieuses», ont-ils ajouté.
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