Ces ayants droit exliquent, dans un communiqué publié à l’issue de leur réunion hebdomadaire, qu’«ils ont été obligés de recourir à cette extrémité à la suite de l’impasse auxquels ont abouti les pourparlers qu’ils menaient avec Solidère».
Les protestataires demandent qu’ils ne soient pas délogés de leur lieu d’habitat, même après que Solidère aura réaménagé leur secteur.
Ils en appellent enfin à la conscience des responsables, pour que «soit mis fin aux pressions et aux intimidations exercées à leur encontre», et pour que «leur dossier connaisse la même solution équitable qui a été appliquée à d’autres régions».
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