Saad Hariri à son arrivée au centre-ville de Beyrouth, le 14 février 2025. Anwar Amro/AFP
Pas de « Zay ma hiyé » sans Saad Hariri. C’est l’un des principaux enseignements des municipales de dimanche à Beyrouth, officiellement boycottées par l’ancien Premier ministre et son courant du Futur, qui ont – pour la première fois en presque trois décennies – vu une liste percer face à celle rassemblant la majorité des partis politiques. En effet, la liste « Beyrouth t’aime », qui bénéficie du soutien du député Nabil Badre, de la Jamaa islamiya (et, vraisemblablement, du courant du Futur), a pu faire élire au moins un de ses membres au conseil municipal de la capitale, ce qui signifie que celle convenablement baptisée « Beyrouth nous unit » n’a pas pu passer telle quelle (zay ma hiyé). C’est l’ancien Premier ministre Rafic Hariri qui a instauré la pratique en 1998, avec pour objectif affiché de préserver la parité...
Pas de « Zay ma hiyé » sans Saad Hariri. C’est l’un des principaux enseignements des municipales de dimanche à Beyrouth, officiellement boycottées par l’ancien Premier ministre et son courant du Futur, qui ont – pour la première fois en presque trois décennies – vu une liste percer face à celle rassemblant la majorité des partis politiques. En effet, la liste « Beyrouth t’aime », qui bénéficie du soutien du député Nabil Badre, de la Jamaa islamiya (et, vraisemblablement, du courant du Futur), a pu faire élire au moins un de ses membres au conseil municipal de la capitale, ce qui signifie que celle convenablement baptisée « Beyrouth nous unit » n’a pas pu passer telle quelle (zay ma hiyé). C’est l’ancien Premier ministre Rafic Hariri qui a instauré la pratique en 1998, avec pour objectif...
drole d'analyse ! encore plus drole la conclusion comme le veut le titre!
09 h 14, le 20 mai 2025